vendredi 12 août 2016

FARENHEIT 451

   Bien le bonjour, tout le monde ! 


   Comme promis, me revoilà avec une histoire dans la même veine que Poison City. Cependant, cette fois-ci, il s'agit d'un roman et pas des moindres car il s'agit d'un pionnier du genre dystopique, j'ai l'honneur de vous présenter Farenheit 451, écrit en 1953 par Ray Bradbury

   Contrairement au manga susdit, ce roman se situe dans une époque lointaine qu'on ne parvient pas à situer. Dans mes souvenirs, je crois aussi qu'on ne connaît pas exactement le lieu où se déroule le récit. Ce dernier se situe du point de vue de Guy Montag, un homme qui exerce le métier de pompier. Il est payé pour débusquer des livres et y mettre le feu. Etrange ? Ce n'est rien comparé au reste de l'histoire. 

   Guy nous entraîne dans son quotidien pour le moins dérangeant. Il y a le limier, le chien robot qui ne semble pas l'aimer. Il y a sa femme, complètement aliénée par les murs TV de leur maison. Il y a ces livres, dans leur cachette, qu'il a volé lors d'une de ses descentes. Et il y a Clarisse, cette jeune fille qui aime observer, réfléchir et écouter, une attitude qui lui paraît fort… bizarre. 

  Le monde dans lequel évolue le personnage est figé, mort et sans âme. Ces collègues ne se posent aucune question sur le bienfondé de leurs actions, sa femme n'est qu'une coquille vide qui passe son temps perdue dans l'univers coloré des émissions télévisées. Rien ne semble avoir de sens pour un lecteur de notre époque. Et, évidemment, les livres n'existent pas. Ce qui y est écrit importe peu, leur seul destin est de brûler. Les hommes sont redevenus des enfants indifférents qui “ne parlent de rien” et qui se laissent porter par une société qui prône la violence au nom du bonheur. 

   Ce roman est très court et très facile d'accès. C'est une histoire importante qui pousse le lecteur a s'asseoir un moment pour observer son environnement proche et lointain. Ne sommes-nous pas en train de nous enfoncer dans le chemin que nous a montré du doigt Ray Bradbury ? Notre esprit critique est-il parfaitement aiguisé ? Qui sont les marionnettes et qui sont les marionnettistes ? 
   
   Vous pensez sûrement que je pars dans le mélodrame, ce qui, en soit, n'est pas tout à fait faux. Mais je pense sincèrement que ces histoires, ces véritables dystopies (je vous laisse déterminer qu'elles sont les histoires qui dénoncent et qu'elles sont celles qui suivent l'effet de mode “Hunger games”) sont des signaux d'alarme qui tiennent notre esprit en éveil. Pour que, jamais, notre parole ne s'éteigne. 

  Voilà, ce sera tout pour cet article, j'espère qu'il vous a plu. En attendant de vous retrouver, merci de m'avoir écouté jusqu'au bout ! N'hésitez pas à commenter et à partager. Venez me rendre une petite visite sur les réseaux sociaux où je poste de nombreuses choses en dehors de mes articles. A très bientôt !

marine.lafontaine@gmail.com
Pinterest, Facebook, Twitter, Google+, Tumblr

Marine Lafontaine
 

2 commentaires:

Unknown a dit…

Tu m'le prêtes hein dis ?

Marine Lafontaine a dit…

Sans problème :)