Bien le bonjour, tout le monde !
Comme promis, me revoilà avec une histoire dans la même veine que Poison City. Cependant, cette fois-ci, il s'agit d'un roman et pas des moindres car il s'agit d'un pionnier du genre dystopique, j'ai l'honneur de vous présenter Farenheit 451, écrit en 1953 par Ray Bradbury.

Guy nous entraîne dans son quotidien pour le moins dérangeant. Il y a le limier, le chien robot qui ne semble pas l'aimer. Il y a sa femme, complètement aliénée par les murs TV de leur maison. Il y a ces livres, dans leur cachette, qu'il a volé lors d'une de ses descentes. Et il y a Clarisse, cette jeune fille qui aime observer, réfléchir et écouter, une attitude qui lui paraît fort… bizarre.

Ce roman est très court et très facile d'accès. C'est une histoire importante qui pousse le lecteur a s'asseoir un moment pour observer son environnement proche et lointain. Ne sommes-nous pas en train de nous enfoncer dans le chemin que nous a montré du doigt Ray Bradbury ? Notre esprit critique est-il parfaitement aiguisé ? Qui sont les marionnettes et qui sont les marionnettistes ?
Vous pensez sûrement que je pars dans le mélodrame, ce qui, en soit, n'est pas tout à fait faux. Mais je pense sincèrement que ces histoires, ces véritables dystopies (je vous laisse déterminer qu'elles sont les histoires qui dénoncent et qu'elles sont celles qui suivent l'effet de mode “Hunger games”) sont des signaux d'alarme qui tiennent notre esprit en éveil. Pour que, jamais, notre parole ne s'éteigne.
Voilà, ce sera tout pour cet article, j'espère qu'il vous a plu. En attendant de vous retrouver, merci de m'avoir écouté
jusqu'au bout ! N'hésitez pas à commenter et à partager. Venez me rendre une petite visite sur
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articles. A très bientôt !
marine.lafontaine@gmail.com
Marine Lafontaine
2 commentaires:
Tu m'le prêtes hein dis ?
Sans problème :)
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