vendredi 12 juillet 2013

HIGURASHI NO NAKU KORO NI

   
    Bien le bonjour et nous voilà repartis avec pour la première fois (enfin deuxième plus exactement, mais je ne vais compter la première parce que… heu… vous en avez quelque chose à faire ?) un article commandé ! Je remercie donc Thomas H. pour son mail et sa demande que je vais traiter dès à présent. 

   L'article commandé porte comme sujet le manga Higurashi no naku koro ni, ce qui, littéralement traduit signifie “Quand les cigales pleurent”, connu également en France sous les noms de “Hinamizawa, le village maudit” et “le sanglot des cigales”.
    A l'origine, il s'agit d'une série de jeux vidéos amateurs édités par 07th Expansion (plus de détails avec le lien). Alors, je ne vous parlerai pas des jeux vidéos parce que je ne les connais pas, mais alors, pas du tout, ni du manga, ni du roman, mais de l'anime (bah oui, c'est le seul gratuit).

   Alors, au départ, je dois bien avouer avoir maudit Thomas pour le choix d'un tel sujet et j'ai dû m'y reprendre à plusieurs reprises pour vraiment finir par accrocher à l'histoire. Que la malédiction d'Oyashiro-sama s'abatte sur toi, mouahaha !… Ouais, non, on ne vas pas plaisanter avec ça, c'est flippant. 
   Alors les jeux ont eu un succès fou, apparemment, ce qui a donné lieu à toutes sortes de déclinaison, dont l'anime. D'ailleurs, quand j'ai regardé le premier épisode, je me suis dit “Tiens, mais je connais ces dessins !”

   Ouais, bon… Quand on revoit ce sketch après avoir visualisé l'anime, je vous jure qu'il vous paraît plus… brrr… 

   Donc, oui, j'ai eu du mal au début. L'histoire se déroulait en cinq épisodes, se concluait dans le sang, l'angoisse et le massacre. On partait toujours d'une même trame et on déviait vers des petites aventures qui différaient toujours de la précédente. La trame de base restait la même : on arrivait au village où Keiichi, un habitant qui venait de récemment d'emménager dans les environs, apprenait que le festival du coton déchiré en l'honneur d'Oyashiro-sama était, depuis quatre années consécutives, le théâtre d'une série de meurtres morbides. 
   Une bonne dose d'angoisse, de suspens, de sang, de mort, voilà les ingrédients principaux des deux saisons de ce manga. Je ne pouvais pas m'empêcher de regarder la suite pour savoir ce qui allait arriver après aux personnages. Puis, sensiblement, pas après pas, on découvre les clés aux énigmes d'Hinamizawa. Tout est lié, tout s'explique dans un manège subtile et vertigineux. C'est, somme toute, un impressionnant travail de coordination. 

   Si la première saison sert surtout à mettre en place toute la machinerie du manga, la seconde va peu à peu nous apporter toutes les réponses à nos interrogations où l'on suit principalement le point de vue de Rika (droite). 

   Bon, je ne conseille évidemment pas ce manga à tout le monde, loin de là ! Si vous n'aimez pas le sang ou les morts violentes, passez votre chemin. Sinon, n'hésitez pas à le voir ! 

   Voilà, c'était le premier article commandé ! N'hésitez pas à faire de même et à suggérer des œuvres que je pourrai commenter. Pour cela, rien de plus facile, il suffit de me contacter à l'adresse suivante : marine.lafontaine@sfr.fr
   
Marine Lafontaine

3 commentaires:

SouLEateR5 a dit…

Moi, y'a un truc qui me chiffonne dans cet animé. Mion, elle a un flingue quasiment à tous les épisodes et elle ne s'en sert JAMAIS !

Marine Lafontaine a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SouLEateR5 a dit…

I LOVE CE TRUC