samedi 11 juin 2016

PREMIERE SEMAINE DE STAGE

Bien le bonjour, tout le monde ! 

Je vous fais un gros coucou depuis Paris ! Je suis dans la capitale pour tout le mois de juin. Je profite du fait qu'il ne fasse pas hyper beau pour vous parler du stage que je passe en ce moment-même aux éditions l'Harmattan, dans le Ve arrondissement. 

Mon stage se déroule entre le 6 juin et le 1er juillet. Je suis logée par mon parrain et sa petite famille qui vivent près du bois de Vincennes. Je suis arrivée dans la capitale par Megabus le dimanche 5 juin, excitée et appréhensive. Et la semaine qui vient de passer… 

L'Harmattan a plusieurs bureaux dispersés entre la rue des Ecoles et celle de l'Ecole Polytechnique. Je suis arrivée le lundi matin au service commercial où je passe à chaque fois une partie de la matinée. Ils ont été très surpris de ma présence et n'ont pas du tout su quoi faire de moi. J'étais bien embêtée et gênée. Après une heure d'attente, je suis descendue vers le service éditorial où j'ai été accueillie chaleureusement.

J'ai passé la première journée à visiter les lieux et à rencontrer tout le petit monde qui travaille entre les murs des locaux. Et mes premières craintes ont fondu comme neige au soleil, ce qui n'était pas compliqué avec le temps magnifique qui a régné toute la semaine. 

Le lendemain, je suis retournée au service presse et j'ai aussitôt été mise à contribution. J'ai passé plus d'une heure à faire du mailing. Je plis les documents, je les mets dans les enveloppes, je colle les étiquettes avec les adresses des destinataires et j'affranchis. Toute une épopée ! 

Quant à mon travail au service éditorial, je le réalise en canon avec l'autre stagiaire, une jeune fille qui répond au prénom d'Adèle. Toujours prête à m'aider, elle m'est d'un grand soutien. Nos missions varient souvent et on se sépare assez vite. Je reste toute la journée avec le service des manuscrits et elle, elle gagne un autre bureau où elle enchaîne les lectures. 

Vous vous demandez sûrement ce que je réalise là-bas ? Tellement de choses ! J'enregistre les livres publiés sur le site de la BNF, je range les manuscrits qui nous parviennent, je les répartie entre les différents lecteurs, j'écris des mails aux auteurs… Tout un travail de fourmi ! 

Et l'équipe, alors ? L'équipe est… géniale ! Tous sont ouverts, prêts à répondre à mes questions. J'embête énormément Carole et Virginie, les deux personnes avec lesquelles je passe mes journées, car j'ai toujours une multitude de choses à demander. Une superbe ambiance règne dans les locaux de la maison d'édition qui font également office de librairie. Il y a toujours du monde, c'est impressionnant ! 

Pour ne rien gâcher au tableau, il fait beau ! Et dans le Ve, il y a une foule de choses à voir ! Je passe mes pauses déjeuners dehors, à vadrouiller de droite à gauche. C'est super ! 

Voilà, ce sera tout pour cet article, j'espère qu'il vous a plu. J'essaierai de vous faire un autre compte rendu prochainement si j'ai matière à. En attendant, merci à vous tous d'avoir lu cet article jusqu'au bout ! N'hésitez pas à le commenter et à le partager ! Venez me rendre une petite visite sur les réseaux sociaux où je poste de nombreuses choses en dehors de mes articles. A très bientôt !

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Marine Lafontaine

LES TRIBULATIONS D'UNE KHÂGNE

Bien le bonjour, tout le monde !

Aujourd'hui, je vais vous parler de moi (pour changer…). Mais c'est un article qui va traiter d'un truc que je prépare depuis le mois de décembre.

En fait, cette année, mes cours s'arrêtant le 2 juin avec la publication des résultats de l'ENS, je me suis dit que ce serait dommage de rester trois mois sans rien faire. Alors m'est venue une idée : et si je faisais un stage  en maison d'édition ?

Aussitôt dit, aussitôt fait. Enfin, aussitôt fait… Il a fallu le trouver, ce stage ! J'ai envoyé alors des demandes un peu partout : Hachette, Sonatine, Ankama… Personne ne m'a répondu à l'exception des éditions de l'Harmattan, une maison rue des Ecoles à Paris.

Trop heureuse d'avoir décroché quelque chose, je me suis pointée comme une fleur à mon lycée où j'ai demandé une convention de stage. Et c'est là que les ennuis ont commencé…


Je me suis tout bonnement fait envoyer sur les roses. Sous prétexte que cela ne faisait pas partie de la formation d'une khâgne, on a refusé de me signer quoique ce soit. La documentaliste de mon établissement a tout fait pour me venir en aide, mais, rien à faire : tout demeurait inéluctablement bloqué.

J'ai commencé alors à légèrement avoir les pétoches, pour tout vous dire. J'ai appelé la fac à laquelle j'étais inscrite en parallèle qui a aussi posé son veto. Je me suis tournée vers diverses organisations, mais elles ne pouvaient rien pour moi. Et mon établissement… Alors eux !

Ma CPE a sûrement été l'une des pires. En plus de me traiter de menteuse et de casse pied, elle a refusé obstinément de se pencher sur mon problème et, pour se donner bonne conscience, elle m'a envoyé vers l'URMA, une école spécialisée dans l'artisanat.
Désespérée, j'appelle cette organisation et leur explique mon soucis. Bien embêtés, ils ont tout de même essayé de me venir en aide.  

Finalement, j'ai obtenu de l'aide de la Mission locale de Lille qui m'a promis une convention… pour ensuite de me la refuser une semaine avant le début de mon stage !

J'ai tout de même réussi à obtenir une convention puisque je écris depuis Paris en ce moment-même. Mais je trouve cela anormal d'avoir du passer par tant de mésaventures, surtout dans une société où on nous demande toujours d'avoir plus d'expérience.

Les stages devraient être plus faciles d'accès pour les étudiants et ce qu'importe leur formation. Si j'avais été en BTS, mon établissement aurait volontiers accepté de signer pour moi cette fichue convention de stage. Et ça, ce n'est absolument pas normal.

Je n'ai pas l'ambition de changer le monde, et cela, assurément pas seule. Mais j'aimerais que cette histoire se répande ne serait-ce qu'un peu. Car, peut-être que si vous êtes nombreux à réagir, nous parviendrons à ébranler cette structure monstrueuse qu'est l'enseignement.

Merci à vous tous d'avoir lu cet article jusqu'au bout ! N'hésitez pas à le commenter et à le partager ! Venez me rendre une petite visite sur les réseaux sociaux où je poste de nombreuses choses en dehors de mes articles. A très bientôt !

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Marine Lafontaine

jeudi 2 juin 2016

UNE PAIRE PAR MIG'ELLE

 Bien le bonjour, tout le monde ! 

Aujourd'hui, un article qui va parler chaussures ! Du jamais vu, n'est-ce pas ? Mais je ne vais pas vous parler de n'importe quelles chaussures, bien sûr ! Car celles-ci sont… artistiques ! 


 Voici la première photo. A l'origine, ces petites baskets étaient toutes blanches. Je les avais acheté à 6 euros à Auchan. Puis je les ai confiées à une amie qui me les a décorées en un tour de main grâce à ses pinceaux. Le résultat est magnifique !


L'artiste en question est connue sur la toile sous le nom de Mig'elle. C'est une dessinatrice talentueuse, chaleureuse et pleine d'humour ! Elle est capable de faire des prodiges grâce à ses doigts agiles et son imagination haute en couleurs. 


En plus, j'ai imperméabilisé les chaussures et les couleurs n'ont pas bougé d'un pouce ! En plus d'être beau, c'est un travail d'une qualité indéniable. 

 

Cet article, comme vous devez vous en doutez, n'a pas été écrit juste que je partage avec vous ma joie. En effet, si cela vous intéresse, vous pouvez entrer en contact avec Mig'elle via son blog (il vous suffit de cliquer sur le nom). Il vous suffit de fournir une paire de chaussures et quelques idées et, pour la modique somme de 35 euros, l'artiste répondra à vos désirs en faisant opérer sa magie.


 N'hésitez pas à prendre contact avec elle. C'est une jeune fille charmante et travailleuse qui sera plus que ravie de vous aider à avoir des chaussures d'enfer (et uniques !). 

Sur ce, je vous laisse et je vous dis, à très bientôt ! 

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Marine Lafontaine