samedi 30 juin 2012

LA PYRAMIDE ROUGE



Une série qui n'a pas aussi bien démarrée que Percy Jackson, mais qui est tout aussi superbement écrite par ce génie qu'est Rick Riordan, cet écrivain à la plume d'or et ses personnages délirants, j'ai nommé : La Pyramide Rouge et publiée en France par Albin Michel. La collection s'appelle en réalité Les chroniques de Kane et la pyramide rouge en est le premier tome.
Cette fois-ci, Rick Riordan a décidé de s'atteler à l'ancienne religion des Egyptiens et de nous faire découvrir leurs dieux et légendes comme celle d'Osiris qui a été découpé en morceaux par son frère Seth. Pour découvrir ou re-découvrir la mythologie égyptienne par le point de vue loufoque de Rick Riordan et placer ces Dieux ancestraux à notre époque. Un humour mordant et un voyage mené à la baguette : une série fabuleuse se dessine à l'horizon.
 
Une particularité est à noter : le livre se déroule comme si les deux personnages principaux, Carter et Sadie, enregistraient leurs aventures à tour de rôle. Ils s'adressent à nous, ou même l'un à l'autre et nous préviennent au début que tout n'est qu'un enregistrement et que certaines parties sont peut-être endommagées. Original et on est tout à fait pris par le jeu de l'auteur !

Histoire :  Après la mort de leur mère, Carter et Sadie ont été séparés. Carter vivait avec son père l'archéologue, à voyager d'un bout à l'autre du monde, alors que Sadie vivait chez ses grands-parents à Londres. Un jour, alors que leur père les emmène au British Museum, les deux adolescents sont témoins d'une curieuse scène qui provoque l'explosion de la Pierre de Rosette : leur père aurait libéré le Dieu Seth et aurait été emprisonné par lui ! Aidés par les entités en eux, les deux enfants se lancent dans une terrifiante course contre la montre avec à la clé le destin du monde. Mais pour cela, il faudra encore parvenir à vaincre Seth et à détruire sa pyramide rouge...

Avis : Ben, que dire... C'est du Rick Riordan ! J'ai dévoré ! J'adore cet auteur, c'est tout ! Ses histoires sont drôles, sérieuses, tristes, belles, grandioses... Il n'y a pas à hésiter ! Lisez ! 

PS : Pour ceux qui auraient peur de perdre la magie de Percy Jackson parce que le deuxième cycle serait moins bien que le premier, vous pouvez filer à la librairie les acheter ! Je m'en porte garant, le deuxième cycle est aussi bon que le premier ! 

Marine Lafontaine

dimanche 24 juin 2012

LA PREMIÈRE APPARITION D'ASCAL

Comme promis, voici la première apparition d'Ascal, ou tout du moins de son nom. A l'époque, en 5ème, on devait écrire une rédaction sur le thème des noms de rue ou de place : il fallait raconter pourquoi ce nom là avait été choisi en fonction d'une légende, d'un personnage célèbre etc... Personnellement, j'avais choisi la place du petit soleil et en voici la légende que j'ai tiré (les fautes d'orthographes en moins) : 
PS : un peu d'indulgence, s'il-vous plaît, j'ai écrit cette rédaction à 13 ans, elle n'est pas forcément géniale au niveau du style... Merci !


Place du petit soleil

  • Maman, maman !
J'éteins mon portable, le range dans ma poche et pose enfin mon regard sur ma boule d'énergie de fille. 
  • Oui, Avril ? 
  • Pourquoi la place se nomme-t-elle "Place du petit soleil" ? 
  • Attends que je me rappelle. Ah, oui ! Cette histoire remonte au Moyen-Age...


Ascal était le fils du médecin le plus respecté de l'époque. Cet enfant enchantait les bourgeois malades grâce à son rire cristallin, ses yeux de feu et son incroyable perspicacité. Il aimait accompagner son père voir ses patients et observait avec la plus vive attention ses moindres faits et gestes. Mais, ce que préférait Ascal, c'était se rendre à la place publique. 
Les jours de fêtes, jongleurs, ménestrels, musiciens et faiseurs de tour envahissaient joyeusement la place. Comtes, nobles et barons étaient conviés à des mets subtils. 
Mais tout ça n'intéressait pas Ascal. Lui, ce qu'il voulait, c'était revoir Lev, l'homme qui lui avait sauvé la vie quand il s'était fait attaquer par des brigands. Lev lui avait promis de revenir et l'enfant l'attendait. 
Mais, aujourd'hui, nulle fête ne vint enchanter la place. Une foule animée d'une rage noire se massait devant l'échafaud. Dans le soleil de midi se découpait trois silhouettes : les gens d'armes, appelés autrement les exécuteurs, et le condamné à mort. 
Le coeur du fils du médecin rata un battement et un noeud malsain se forma dans sa poitrine. Le condamné à mort, c'était lui ! C'était Lev !
L'enfant tira sur la manche de son père et s'enquit d'une voix blanche :
  • Père, qu'a commis cet homme ? 
  • Mon fils, cet homme n'est autre que l'organisateur d'un coup d'Etat. 
  • Ce n'est point possible... Père, cet homme n'a commis nul crime ! 
  • Comment peux-tu l'affirmer ? 
  • Je le sens au fond de moi. 
  • Mon fils, soupira le médecin, ce n'est point avec des sentiment que se joue la justice. 
  • Mais, père ! 
  • Ascal ! Cela suffit !
L'enfant recula, la colère lui empourprant les joues. 
  • Cet homme est innocent ! hurla-t-il en désespoir de cause. 
Les gens d'armes posèrent sur lui un regard teinté de mépris. 
C'en fut trop pour Ascal. 
Il fendit la foule pour se trouver devant l'échafaud. Là, il s'éleva dans les airs. Son visage n'exprimait nulle peur. Comme s'il savait ce qu'il faisait. Comme s'il savait ce qui allait arriver...
Il entendait plus les cris de son père, ni ceux de la foule et encore moins ceux des gens d'armes. 
Un trou béant se forma sous ses pieds et un feu opalin s'éleva en tourbillonnant pour encercler l'enfant, épousant les formes de son corps. Un véritable petit soleil flottait au centre de la place. 
Ascal tendit les bras, les yeux emplis de rage. Il hurla. Le feu explosa, réduisant les exécuteurs à l'état de cendres. 
Lev se leva et, profitant de l'hébétude de la foule, il s'enfuit. 
Le médecin chercha son fils des yeux, désemparé.
  • Ascal ! Ascal !
Maisl'enfant avait disparu. 
  • C'est le Diable réincarné ! cria un homme. 
N'y tenant plus, le médecin s'enfuit à son tour. C'était tout ce qu'il lui restait à faire...



Avril lève sur moi un regard humide pour conclure : 
  • Elle est triste ton histoire. 
  • Mais non, Ascal est toujours là. Il protège la place et nous éclaire pendant nos heures sombres, faisant naître la joie dans nos coeurs. 
  • N'empêche que ton histoire est triste, persiste-t-elle. 
Je hausse les épaules et lève les yeux vers le soleil. Ascal veille sur nous. 


Alors, ça vous a plu ? Evidemment, Ascal est très différent maintenant : il ne s'exprime pas de la même façon, c'est un jeune homme de 17 ans, il ne se désintègre pas quand il tente de sauver des gens et puis il aurait fait bien plus de dégâts matériels que ça, quoi ! Là où passe Ascal, les villes sont détruites !
En espérant que ça vous ait plu ! A la prochaine !

Marine Lafontaine        

vendredi 22 juin 2012

MAYA FOX 2012

Allez, j'ai décidé de faire la pub d'un best-seller ! Une série en quatre tomes sur les mayas, les fantômes et Londres ! Maya Fox 2012 en tiendra plus d'un en haleine ! Ecrite par Silivia Brena et Iginio Straffi, publiée chez Pocket Jeunesse cette série saura réconcilier les matheux et les littéraires et, pour cause : une écriture fine et relevée pour une histoire basée sur les chiffres, notamment la séquence de Fibonacci, un mathématicien italien de la Renaissance. 

Histoire :  Maya est une adolescente comme les autres : elle aime sortir avec son amie Flo, écouter du rock, faire les magasins, tchatter et manger des pâtisseries. Une vie normale, en somme...  Jusqu'au jour où elle entend la voix de son père mort ! Maya bascule alors dans un univers fascinant qui la dépasse complétement. Est-elle une prédestinée ? Pourquoi le psychopathe qui a tué son père veut maintenant lui faire la peau ? En quoi est-elle liée à la prédiction des mayas disant que l'équilibre du monde basculera le 21 décembre 2012 ? 

Avis :  Une histoire intéressante, dotée d'une galerie de personnages hauts en couleur. Vous allez haïr les auteurs à la fin du tome 1, parce que la suite n'est pas encore pour maintenant et que vous aimeriez bien comprendre ce qui se passe !
Le roman est bien écrit, les passages où l'on laisse la parole au tueur en série sont très intéressants et complètement illuminés. Un livre qui n'a pas volé son titre de best-seller. A découvrir, si ce n'est pas encore fait. 

VANGO

Youhou ! Nous voici de nouveau réunis pour partager une lecture merveilleuse, j'ai nommé Vango. L'histoire se construit en deux tomes, écrits par Thimothée de Fombelle et publiés aux éditions Gallimard jeunesse. Cette histoire est un véritable chassé croisé entre les personnages, tous liés d'une certaine façon. Le premier roman se situe au commencement de la seconde guerre mondiale avec la montée au pouvoir d'Hitler et de l'antisémitisme; une partie du second est sous l'occupation allemande en France. Passionnant ! J'ai dévoré les deux tomes en moins de temps qu'il ne faut pour le dire !

Histoire : Vango a 19 ans et il est sur le point de devenir prêtre à Notre-Dame de Paris quand la police débarque brusquement pour l'arrêter pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Instinctivement, Vango s'enfuit. C'est le début d'une chasse à l'homme avec la police de Paris et de mystérieux espions russes qui cherchent par tous les moyens de mettre la main sur le jeune homme. Mais qui est-il vraiment ? Pourquoi est-il pourchassé ainsi ? Pourquoi Staline le veut mort ? Tant de questions se posent. Pour Vango, c'est le début d'une quête sur lui-même et ce passé dont il ignore tout. 

Avis : L'histoire est remarquablement construite. Il y a des rebondissements quasiment à tous les chapitres ! Thimothée de Fombelle est un auteur formidable (avez-vous déjà lu Tobie Lolness ? Si ce n'est pas le cas, je vous le recommande vivement !) à l'écriture fine et aux histoires complexes. Ces romans sont des délices ! Vango est un formidable voyage à travers le monde et l'Histoire. A lire, sans plus attendre ! 

Marine Lafontaine

mercredi 20 juin 2012

No.6

Il fallait absolument que je vous parle de No.6 (Number six). Cette série japonaise a été mon coup de coeur des vacances dernières. Je l'ai juste trouvée géniale. 
J'ai découvert No.6 en commençant par l'animé. 11 épisodes, engloutis en une journée.  En faisant des recherches, j'ai découvert, ô miracle! que le manga était issu d'une collection de livres ! Ils ont été écrit par Atsuko Asano et sont publiés en France par Les éditions du Rocher. Malheureusement, faute de succès en France, la publication s'est arrêtée ici à 5 tomes sur 9. Ce qui est absolument injuste ! L'histoire est juste magnifique ! En voici le synopsis : 

Histoire : Suite à une guerre terrible, la Terre a été dévastée au point de ne plus compter que six zones habitables. L'armement a été proscrits et chaque région est devenue indépendante. No.6 est l'une d'entre elles : une magnifique cité dite utopique. Parmi ses citoyens, on rencontre Aster (ou Sion dans le manga), un gamin de douze ans avec un QI trèèèès élevé. Grâce à ça, il vit dans le beau quartier Chronos avec de nombreux privilèges et il est promis à un grand avenir. Le jour de son douzième anniversaire, il rencontre Le Rat (Nezumi dans le manga, nezumi signifiant rat en japonais), un garçon qui s'est échappé du centre correctionnel. Il le protège, le soigne et le nourrit, mais le garçon a disparu le lendemain. Le gouvernement découvre ce qu'Aster a fait et il est destitué de tous ses privilèges. Quatre ans plus tard, il travaille comme surveillant de parc et assiste à de mystérieuses morts : les gens vieillissent tout à coup juste qu'à périr ! Aster est obligé de fuir et cette action le mènera au coeur du secret de No.6...

Alors ? Ça ne donne pas envie ? Grâce à l'animé, j'ai pu savoir la fin, heureusement ! L'histoire est vraiment belle et rondement menée ! C'est vraiment une série à voir, à lire, à dévorer et à revoir et à relire ! Aster et Le Rat sont deux personnages diamétralement opposés et leurs divergences de caractères les mènent souvent à la dispute : Aster est assez semblable au chevalier servant doux et gentil qui aime aider son prochain alors que Le Rat est une personne au caractère exécrable qui ne pense qu'à une chose, survivre. 
Une belle réflexion sur l'humanité. Un vrai coup de coeur, à faire partager !

Marine Lafontaine    

JUSTE POUR RIRE

J'ai trouvé cette vidéo excellente !
Voici jusqu'où sont capables d'aller les entreprises pour se faire un peu de pub...



lundi 18 juin 2012

MINUTE PAPILLON

Mon frère m'a présenté une chaîne que j'ai adorée et que je voulais vous présenter aujourd'hui : j'ai nommé Minute Papillon. Cette chaîne est aussi appelée la minute du vrai à dire. Si certains épisodes sont vraiment de la rigolade (deux, trois, à voir aussi !), le reste est juste excellent. Celui qui présente ça fait des épisodes qui durent, au maximum trois minutes (sauf sur la présidentielle, qui est plus longue). Il parle plein de sujets différents, tous traités avec humour, et le rendu est excellent. Il parle ainsi de la drogue, des cigarettes, des pensées uniques, des questions existentielles, la peine de mort etc. Les arguments que Kriss apporte sur les sujets sont super intéressants. Je recommande vivement à quiconque d'aller voir ses épisodes et d'en parler autour de soi.  

REBORN

Prenez l'adolescent le plus nul en tout et 'importe quoi, ajoutez un bébé tueur à gage, la mafia et une galerie de personnages plus fous les uns que les autres. Mélangez, secouez, et vous aurez Katekyo Hitman Reborn ! (Traduction : mon prof le tueur à gage Reborn !) de Akira Amano. Ce manga d'action est publié au éditions françaises Glénat avec 31 tomes sortis en France (le 32ème étant prévu pour mi-août prochain). L'adaptation animé comporte près de 203 épisodes.
Reborn est un manga qui peut paraître assez lourd aux premiers abords, mais on accroche très vite. Les personnages sont très attachants et hauts en couleur. Une chose que je reproche dans ce manga est le rôle des filles dans l'histoire. C'est très frappant dans l'arcade sur le futur où les filles ne combattent jamais, mais sont assignées aux tâches ménagères telles la cuisine, le ménage et la lessive. Bon, ceux qui liront ou regarderont le manga seront d'accord avec moi qu'on ne peut faire combattre Haru et Kokyo, mais Chrome et Bianchi (qui elles savent se battre) ne rejoignent même pas le champ de bataille !

Histoire :  Stunayoshi Sawada est surnommé Stunaze en raison du fait qu'il soit nul en tout : il n'est ni sportif, ni intellectuel et c'est un grand peureux. Un jour, sa mère reçoit un prospectus d'un professeur particulier et décide de l'engager pour son fils. Débarque alors Reborn, un bébé en costard cravate qui se prétend tueur à gage de la mafia et qui annonce de but en blanc à notre Stunaze qu'il est destiné à devenir le nouveau parrain des Vongola, une famille de la mafia.

Avis : Franchement, l'histoire est pas mal du tout et riche en rebondissements. J'avais arrêté l'histoire pendant un moment et, quand je l'ai reprise, j'ai tout de suite été prise dans le manga. L'évolution de Stuna est intéressante, mais, malgré toutes les épreuves qu'il traverse, il est toujours aussi peureux et aussi peu doué. sa métamorphose n'est flagrante que quand il se bat.
Mais la fin est vraiment nulle ! Plein de mystères demeurent non élucidés !

Sinon, Reborn est vraiment un bon combat, même si on aurait aimé plus d'informations sur certains éléments (dans l'animé, c'est le cas, après peut-être que ça diffère avec le manga et j'espère pour les fans). A voir !

Marine Lafontaine

L'écriture, la lecture, mais pas seulement !

 Vous pouvez cliquer sur les dessins pour les voir en plus grand.
Il est vrai que l'écriture est ma passion et la lecture un formidable loisir plein de voyages et de couleurs. Mais, aujourd'hui, je tenais à vous parler d'un autre loisir qui est également une passion : l'art. Pas les tableaux ou les sculptures, mais mes propres dessins et tableaux. Je ne sais pas vraiment comment exprimer ce qu'on ressent à travers le dessin, mais c'est une bonne manière de se vider la tête, de s'occuper les mains et de s'exprimer à travers autre chose que les mots. J'aime dessiner depuis que je suis toute petite. Par exemple, l'aquarelle ci-contre (le moulin), je l'ai dessiné en primaire, tout comme les deux sortes de branches avec des feuilles (c'est de la craie grasse ce coup-ci). 



   Je n'ai pas beaucoup dessiné au collège, j'étais tellement prise par l'écriture de Soul sea que je ne prenais plus le temps de dessiner. Je n'ai produis que quelques dessins à diverses occasions (en voici quelques uns ci dessous) :

La colombe prise dans les barbelés était un projet d'art plastique d'affiche de propagande contre la guerre. Pour ceux qui ne l'auraient pas reconnu, le forme de l'affiche et bel et bien un obus (OK, il n'est pas très réussi, mais bon...)
Mais cette année, pas mal de choses ont changé : j'avais fini d'écrire le gros de la collection, j'entrai au lycée et j'avais un prof d'art plastique génial. Tout cela m'a encouragé à délaisser quelque peu mon clavier et me remettre au dessin !


A droite, vous avez le drapeau d'Ascal, le personnage principal de Soul sea !

ceci est un tableau que j'ai fait pour un ami de ma maman (j'ai rajouté par la suite une canne à pêche dans les mains de la jeune femme, sauf que j'ai oublié de prendre une photo du tableau entièrement terminé et que maintenant bah... je ne l'ai plus). Donc vous devez imaginer la dame avec une canne à pêche ! 






Ici, on a une reproduction d'une oeuvre du musée Ludwig. Imaginez des immenses plaques d'ardoises sur deux murs complets avec plein de dessins à la craie dessus ! J'ai reproduis au blanco ceux qui m'avaient le plus frappé (je n'ai eu le droit qu'à un essai alors un peu d'indulgence s'il-vous plaît !)









Et voici maintenant une série de portraits d'Allen Walker, le personnage principal de D.gray-man et de Kenshin Himura de Kenshin le Vagabond (pour ceux qui ne les connaissent pas, Kenshin est le garçon avec les cheveux longs et la cicatrice en forme de croix, Allen ben c'est l'autre ^^)





Au dessus, Kenshin, en dessous, Allen !





A l'origine, les petites maisons que vous voyez faisaient partie d'une maquette d'une ville que j'ai démonté, mais dont j'ai gardé les principaux bâtiments. “Chez Alcin” est une taverne, les bulles sont des morceaux de conversations, comme des brèves de comptoirs. Quant aux maisons, elles sont assez spéciales puisqu'elles sont, en quelques sortes, issues de Soul sea puisque chacune d'entre elles portent sur un personnage différent. Sur un des murs, il y est écris la première apparition du personnage dans la collection, sur un autre un évènement important de sa vie (ou sa mort si le personnage meurt dans la collection), sur un autre l'avis d'un ami sur le personnage et sur le dernier, la même chose, mais avec l'avis d'un ennemi. Quant au toit, c'est la biographie du personnage, rédigée à travers un rapport de l'armée. 


Aladin, dans la manga Magi


Edward Elric dans le manga Full metal alchemist (non, mais c'est vrai qu'il ressemble à une fille, une fois les cheveux détachés !)





 Kirua dans le manga HunterXhunter


 Un projet de mobile qui a parfaitement raté (le bois a explosé parce que la vis que j'avais choisi était trop grosse...)

 Mon prénom en japonais

 Le mobile reconverti
 Yamamoto Takeshi dans le manga Reborn
Train Hearnet dans le manga Black Cat









Et voici pour conclure ce petit article ! Je continue de dessiner, j'ai plusieurs projets en cours ! En espérant que je continuerai de m'améliorer !

Marine Lafontaine